Trèfle d’Or
Le projet du Trèfle d’Or se situe dans une zone en forte mutation : sur la route de Saint-
Julien, à côté de la halte du Léman Express du Bachet, en face du projet de la Cité de Pesay et
à proximité du PLQ Chapelle-Gui.
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Le projet du Trèfle d’Or se situe dans une zone en forte mutation : sur la route de Saint-
Julien, à côté de la halte du Léman Express du Bachet, en face du projet de la Cité de Pesay et
à proximité du PLQ Chapelle-Gui.
La Maison de l’enfance et de l’adolescence réunit onze services de psychiatrie dans un projet novateur qui allie soin et culture dans un cadre convivial, sécurisant et stimulant. Il est conçu comme une grande maison qui s’intègre harmonieusement dans la ville afin de favoriser la déstigmatisation de la psychiatrie.
Fondée en 1964, la Maison de Quartier Vaudagne est un des premiers centres de loisirs du canton de Genève. La démographie de Meyrin ayant connu une forte croissance ces dernières années, l’association s’est retrouvée à l’étroit et la nécessité d’une extension du programme s’est fait fortement ressentir.
Le projet de plan localisé de quartier (PLQ) Acacias 1 s’inscrit dans la continuité avec la ville constituée, en particulier les quartiers proches de Plainpalais et des Noirettes.
En écho à la halte ferroviaire du Léman Express, dont la couverture et les émergences procèdent de la répétition d’unités vitrées de grand format, les deux nouveaux bâtiments empruntent un vocabulaire architectural de trame régulière qui abrite le programme domestique des appartements à la manière "d’étagères urbaines".
Dans un contexte caractérisé par des bâtiments industriels transformés ou entièrement remplacés, le projet conserve et prolonge le bâtiment existant de la HEAD-Genève, construit par l’architecte Jean Erb en 1948 et classé au patrimoine du XXe siècle.
Inversion et Pli
Le programme du groupe scolaire se répartit en trois parties de bâtiments reliées par le préau couvert. Le premier volume, relié au mail central, regroupe les locaux parascolaires (4 salles), l’aula (200 places), le réfectoire (400 repas) avec sa cuisine de régénération (directement accessible depuis l’allée Belle-Terre pour les livraisons), la ludothèque et l’appartement du concierge. Au centre du système se trouve l’école avec un hall généreux et baigné de lumière naturelle grâce au patio central.
Le bâtiment s’implante naturellement le long du chemin du Pré-Guillot, en retrait du chemin du Vieux-Bac, dégageant un parvis d’entrée arborisé. A la rencontre des deux chemins, un couvert accueillant marque l’entrée de la crèche. Pour permettre une utilisation optimale de la parcelle tout en préservant des surfaces extérieures généreuses, le programme est organisé sur 2 niveaux et un demi-sous-sol. Les différents espaces s’articulent autour d’un noyau de distribution central, transparent et lumineux qui permet une liaison aisée et un contact visuel permanent.
L’âme et le caractère exceptionnels de l’Hôtel de Ville doivent autant aux gens et aux institutions qui l’ont animé durant cinq siècles qu’à son architecture, résultat de nombreuses extensions et transformations réalisées au fil du temps.
Le projet se situe sur une perpendiculaire à la rue de la Servette et à proximité de l’école des Grottes. Il profite d’une relation particulière avec le jardin se trouvant au sud de la parcelle. Le projet cherche à s’intégrer au mieux avec son contexte et de préserver le caractère du site.
Bâtiment néoclassique emblématique de Genève, le Conservatoire de Musique a été construit en 1858, il est ensuite agrandi en 1910 puis en 1920. Ces premières transformations utilisent des matériaux de leur époque tout en respectant par mimétisme la rigueur et la régularité du tracé d’origine. Durant la deuxième partie du XXème siècle, le Conservatoire subit une série d’interventions intérieures qui dilue la clarté du plan et altère le caractère des espaces.
Le projet : TracE-EcarT
La morphologie du projet émerge du dialogue avec les bâtiments alentours. À l’instar du bâti le long du chemin des Sports, l’immeuble s’élève sur huit étages tout en prenant le soin de se tenir à distance du voisinage afin de profiter des dégagements et des percées urbaines, offrant une vue sur le grand paysage genevois.
La démarche de cette importante rénovation remonte à 2004. Malgré les efforts soutenus d’entretien, le bâtiment et ses installations techniques étaient vétustes. L’institution était également à l’étroit dans ses murs et avait besoin de nouvelles surfaces. L’objectif des travaux était triple : patrimonial, fonctionnel et sécuritaire.
La Nouvelle Comédie c’est plus qu’un théâtre : c’est non seulement un lieu de représentation théâtrale, avec ses deux salles, mais aussi un lieu de création, avec ses grands ateliers de construction. Ce sont eux qui font de la Nouvelle Comédie un véritable centre de création artistique, réunissant sous un même toit tous les métiers du théâtre.
En écho à la halte ferroviaire du Léman Express, dont la couverture et les émergences procèdent de la répétition d’unités vitrées de grand format, les deux nouveaux bâtiments empruntent un vocabulaire architectural de trame régulière qui abrite le programme domestique des appartements à la manière d’étagères urbaines.
Pour permettre une grande flexibilité d’organisation des appartements mais également répondre de manière durable à l’ensemble des contraintes du projet, le principe retenu pour la construction est celui du plan libre, avec un système poteaux-dalle et noyau central en béton armé. La façade, non porteuse, est préfabriquée avec une ossature bois et un revêtement vertical de sapin blanc pré-grisaillé.
Chaque année, Alice développe des projets à échelle réelle en bois, avec les 200 à 250 étudiant·e·s en architecture de première année, pour les initier à la problématique du projet architectural et paysager : ensemble, travailler à l’échelle du territoire et du corps – d’un point de vue tectonique, logistique, humain et cyclique.
Implanté au cœur de la ville de Genève, le Pavillon de la danse accueille une salle de spectacle consacrée à la danse contemporaine ainsi que ses annexes. Les 84 portiques de bois qui composent cette structure déplaçable se déforment, comme autant d’instantanés capturés par chronophotographie. Un pas de danse qui se serait figé. La construction préfabriquée démontre la capacité du bois à répondre à un programme de haute exigence acoustique: une salle de spectacle en milieu urbain.
L’implantation d’une infrastructure aussi importante que la halte ferroviaire de Champel-Hôpital, nécessite une réflexion à l’échelle de la ville. Repenser l’espace public dans le contexte du quartier de Champel et sa relation à Genève comme au biotope originel de la région. Le Plateau de Champel occupe une place particulière dans cette réflexion urbaine, renforcée par sa relation avec la voie verte, un parc linéaire de plus de 20km.
Réalisation d’un bâtiment labellisé Minergie de 41 nouveaux appartements ZDLOC et HM comprenant un appartement de type cluster pour les aînés et une salle commune polyvalente. Le bâtiment s’implante en suivant la pente naturelle du terrain. En se pliant légèrement, il permet d’offrir des espaces extérieurs variés, s’ouvrant ou se fermant le long du cordon boisé périphérique. Un passage abrité au centre du bâtiment constitue la liaison entre le jardin communautaire et le quartier.
Réalisation d’un immeuble d’habitation de 60 appartements, labellisé Minergie, et d’un parking souterrain de 42 places. Cet immeuble de logements s’inscrit dans la politique de construction d’habitations bon marché HBM des Fondations Immobilières de Droit Public FIDP. Il comprend des appartements d’utilité publique LUP destinés aux personnes à revenus modestes. L’implantation permet d’achever l’alignée d’immeubles selon le PLQ existant. Les accès se font depuis la cours en commun. Les grands appartements sont traversants nord-sud.
La construction du bâtiment a comme premier objectif de répondre aux besoins des enfants de l’école de Geisendorf inscrits aux activités parascolaires et au restaurant scolaire. Il a néanmoins été conçu dans un esprit de partage et de polyvalence des locaux afin de pouvoir accueillir différents publics du quartier.
En adoptant l’implantation proposée par le plan localisé de quartier, les 6 bâtiments composant les lots B+C complètent un ensemble futur, bâti autour de chambres urbaines. Le projet, qui accueille près de 200 logements, se situe dans une zone en forte mutation, à l’interface de contextes urbains différenciés : coteau verdoyant de Lancy à l’ouest et la gare de triage de la Praille à l’est.
Le système constructif joue un rôle essentiel lors de la conception de projets éphémères. Il s’agit de trouver le bon équilibre entre une réalisation simple, efficace, économique et élégante. Pour ce faire, le projet se compose d’une structure de cadres moisés en bois lamellé-collé. Ce système d’assemblage permet un montage aisé.
Tout ici cherche à favoriser la rencontre en répondant à deux enjeux complémentaires : garantir un environnement protégé tout en s’ouvrant aux autres. Les habitants et visiteurs pénètrent à l’intérieur par un grand vide lumineux qui reprend la matérialité des façades pour lui conférer un statut d’espace public protégé.
La volumétrie de l’immeuble est façonnée par un contour souple qui génère des faces concaves. La géométrie résultante évoque celle d’un osselet, une forme organique élémentaire cherchant à intégrer l’environnement boisé du parc. Le principe occupe le périmètre d’évolution maximal afin de dégager aux quatre angles des loggias s’orientant sur plusieurs perspectives. Les façades pliées et concaves confèrent au volume un caractère dynamique de pivot, proposant un système s’ouvrant sur le paysage.
Le projet propose la rénovation et la mise en valeur de la Ferme du Pommier inscrite au Patrimoine, la construction d’un théâtre de environ cent places dans un volume indépendant et le réaménagement du jardin. Les deux bâtiments composent un ensemble articulé autour d’un espace de rencontre dans le parc et une cour de service sur rue.
Trois interventions distinctes sont proposées, correspondant aux trois parties du programme du concours. Uniquement deux bâtiments émergent du sol. Un volume unique pour l’école se développe le long de la rampe de Choully. Un volume pour la salle communale prend place contre le terrain face à la salle existante et définit l’espace de la place de rassemblement. Le troisième élément est intégré dans le sol et appartient aux aménagements extérieurs. Il s’agit d’une esplanade reliant le complexe de la mairie à la nouvelle salle communale.
Le quartier de Prés-Grange est constitué d’un tissu de maisons individuelles. Le projet s’inscrit dans cette structure et se compose de quatre immeubles de faible hauteur disposés autour d’un coeur qui rappelle la cour de la ferme villageoise. Le nouveau quartier, bien qu’assez densément construit, n’est donc pas un mur, un obstacle; bien au contraire, sa perméabilité permet de relier harmonieusement les quartiers environnants entre eux.
Le quartier Concorde se distingue par un bâti hétéroclite, de la cité jardin aux barres de logements sociaux à grande échelle, les habitations se succèdent sans pour autant avoir un lieu rassembleur. L’intention initiale du projet est de venir compléter l’ilot par un front bâti habité, préservant ainsi un cœur de quartier verdoyant propice à accueillir l’école Emilie-de-Morsier comme bâtiment autonome animant ce parc.
Le projet s’implante selon le plan localisé de quartier. Il adopte une légère articulation volumétrique, conséquence de l’intégration du volume bâti dans un environnement riche en végétation. Le projet évite l’effet de zonage du site: les articulations des parcours et le traitement des vues permettent d’appréhender de vrais rapports différenciés entre les espaces, composantes du parc. Le programme s’accorde au terrain. Il en apprivoise la topographie en pente. Le sous-sol épouse la déclivité du site.
L’extension de l'école du Val d’Arve se situe sur un terrain plat au cœur d’une zone d’habitations et d’installations sportives. La parcelle à disposition est délimitée à l’est par un nouvel ensemble d’immeubles disposés dans un parc. Au nord, la route de Veyrier, actuellement modifiée au bénéfice de la mobilité douce, sert de point d’accès principal au site. L’ensemble scolaire est caractérisé par l’utilisation de certains locaux par des associations, créant une relation délicate entre public et scolaire.
La création d’un écoquartier comprenant 300 logements, une école, un musée-dépôt, un parking souterrain et de nombreuses affectations publiques à la Jonction à Genève - site d’Artamis - crée un cadre de mixité et de pluralité des modes de vie. Le projet social loft rapproche deux formes d’habitat, le loft et le logement social, pour façonner un hybride riche en diversité typologique.
Le projet procède avant tout par une qualification des espaces publics du site pour redéfinir l’avenue Henri-Golay comme un lieu de référence central pour le quartier. Le projet renforce l’aspect de parc linéaire menant de l’avenue de Châtelaine vers le Rhône en articulant une succession d’espaces de différents caractères, reliés par un espace partagé à l’ouest du site, et un cheminement arborisé à l’est.
Le découpage géométrique du volume proposé estampe le caractère sériel du PLQ et diversifie les alignements et perceptions de l’ensemble. Cette morphologie renforce la cohérence du quartier tout en enrichissant les dégagements entre les bâtiments. L’articulation géométrique des volumes permet à l’ensemble des appartements de bénéficier d’un angle et évite ainsi la sensation mono-orienté des appartements intérieurs qui disposent également de dégagements généreux sur le paysage.
Le bâtiment administratif existant à l’avenue Edmond Vaucher à Genève a été construit dans les années 70. Les dix étages de l’extension s’arriment directement à la construction existante. L’espace, qui a été libéré au sol grâce à des poteaux, est désormais occupé par un nouveau socle et une toiture débordante couvre toute la structure. Ainsi, le bâtiment actuel et la nouvelle extension forment un ensemble harmonieux et distinct.
Le bâtiment est composé de deux volumes bien distincts, mais intimement liés, qui s’intègrent dans le gabarit du PLQ.
Le premier, constitué essentiellement d’un volume bas, comprend la salle polyvalente en lien avec l’espace public et toutes les dépendances liées au fonctionnement de la salle. Le second est un volume compact sur trois niveaux, en retrait de la place, et comprend les ateliers et le local pour les adolescents. Au sous-sol se trouvent les pièces de musique et l’atelier de construction.
L’immeuble K se situe dans le quartier de la Chapelle au Grand-Lancy. Il fait partie d’un ensemble de 18 immeubles de logements dont 10 ont été bâtis dans une première étape et inaugurés en octobre 2014. Le plan d’ensemble a été élaboré par notre bureau d’urbanisme et vise à offrir une qualité de vie urbaine dans un contexte de campagne. La réalisation de l’immeuble K, de 6 étages sur rez-de-chaussée, comprend 39 logements en propriété par étage.
La création d’un écoquartier comprenant 300 logements, une école, un musée-dépôt, un parking souterrain et de nombreuses affectations publiques à la Jonction à Genève - site d’Artamis - crée un cadre de mixité et de pluralité des modes de vie. Le projet social loft rapproche deux formes d’habitat, le loft et le logement social, pour façonner un hybride riche en diversité typologique.
La transformation et l’agrandissement du hall Check-in de l’aéroport international de Genève répond aux besoins impératifs d’une augmentation des surfaces d’accueil imposée par la forte affluence actuelle de l’infrastructure genevoise.
Les améliorations proposées sont permises grâce à l’avancement et au réalignement de la façade principale.
Le projet se compose de 140 logements sociaux HM/HM LUP, répartis dans 3 immeubles inscrits dans un PLQ. Le périmètre d’implantation des bâtiments a favorisé la création d’un large patio central qui permet l’accès aux appartements via des coursives. L’essentiel de la réflexion est porté sur les questions de matérialité, de typologies, de lumières naturelle et d’interaction entre les locataires.
Le nouveau bâtiment s’identifie tel un élément dans un parc par analogie à l’image de la maison dans son jardin. Les espaces de vie bénéficient tous d’un accès direct vers l’extérieur : au jardin pour les unités de vie à prestations élargies, à la terrasse pour les unités de vie à prestations restreintes. La modularité des espaces, la disposition des unités favorisent les rapports entre les groupes. Des lieux tampons permettent d’aménager des coins de calme, transitions entre l’activité et les siestes.
Ce projet de 49 logements Minergie P Eco et d’une crèche est issu d’un concours organisé par la Mairie de Chêne-Bougeries pour l’attribution d’un DDP à une Coopérative sur la base d’un projet social et architectural.
Le projet Similor s’inspire de la cité Sarde et de ses qualités recherchées de village dans la Ville. La volumétrie particulière du projet est le résultat d’un travail de rapiècement du tissu urbain. Le vide laissé par la démolition de l’usine Similor permet de recréer de nouveaux espaces de qualité, et de raccrocher le projet à l’existant.
La parcelle se situe en tête d’un nouveau front urbanisé qui va de la route de Frontenex à la Gradelle, à l’endroit d’une articulation avec une pénétrante de verdure qui arrive de la campagne jusqu’à la ville. Le bâtiment est conçu comme une grande fleur posée dans un espace vert. Ouvrant ses bras au paysage lointain, l’école s’insère dans un monde végétal dont elle est le prolongement artificiel.
Le projet cherche à s’intégrer de manière fine dans ce lieu de la commune de Soral, tout en définissant le caractère à la fois rural et domestique d’un ensemble de logements contemporains à la campagne.
Le projet tire parti d’un site magnifique, une clairière ouverte sur deux grands cèdres et un verger en pente douce, en faisant entrer le paysage au cœur du bâtiment. La crèche et le préau sont pensés comme deux pièces d’un puzzle, comme l’interpénétration du monde extérieur et du monde intérieur.
Situé au coeur du nouveau quartier de la Gare des Eaux-Vives, le projet Sumisura s’inscrit dans le développement de la ligne CEVA Cornavin–Eaux-Vives–Annemasse. Le projet recoud le tissu urbain, en conciliant les architectures des différente époques et l’espace urbain futur.
Les deux nouveaux volumes articulent l’espace public de la nouvelle Avenue de la Gare et, avec les bâtiment existent, ils forment un nouvel espace de vie : l’esplanade.
La reconstruction de la halle des Sablières est le résultat d’un concours sur invitation d’initiative privée. En effet, le bâtiment d’origine, un dépôt sur un niveau construit dans les années 80, a été complètement dévasté par un incendie en 2013.
Issu d’une commande privée, ce projet de logements locatifs dont le rez-de-chaussée sera animé par une arcade, a été développé avec la volonté de maximiser les possibilités offertes par cette parcelle située au cœur d’un îlot urbain.
Le défi de préserver la caractère historique de ce bâtiment en augmentant sa capacité de manière importante, et de marier des styles et des techniques de construction très différents a nécessité la mise en place de méthodes de projet rigoureuses. L’analyse historique de l’ensemble des bâtiments existants a permis de déterminer les éléments dignes de conservation et ceux pouvant être démolis dans le cadre du projet de transformation.
L’intervention se situe au sud de la jetée des Eaux-Vives. Le projet propose l’élargissement et l’exten- sion du ponton existant par une généreuse esplanade en bois. Il s’agit d’une plate-forme raccordée au quai sans emmarchement, qui permet d’accéder à la jetée et au Jet d’eau. Le nouvel ouvrage rend à la digue existante son gabarit initial en la débarrassant des ajouts de béton, caissons et autres structures techniques.
Une école dans un parc, pour un nouveau quartier. Un groupe scolaire et demi de 24 classes, restaurant et aula, des salles de gymnastique, une piscine. Une esplanade principale comme place du village, un préau avec des bâtiments qui se regardent.
Le nouveau bâtiment est implanté sur la parcelle en harmonie avec la végétation existante. Un premier volume horizontal, en partie basse, est dévolu à la petite enfance. Un deuxième volume vertical, de quatre niveaux, est prévu pour des logements étudiants. Plusieurs arbres séculaires ont pu être conservés et des plantations d’érables, de marronniers, de charmes et de pins seront réalisées.
Le nouveau bâtiment des lits BdL 2 est un programme de grande ampleur, qui établit une nouvelle relation entre l’hôpital et la ville. En effet, avec le BdL 2, l’hôpital possède une nouvelle façade urbaine, à laquelle correspond une entrée complémentaire à l’entrée actuelle.
Issu d’un concours organisé par la Ville de Genève jugé en 2011, le projet découle de la double problématique de rétablir la continuité de la pénétrante de verdure entre les parcs Beaulieu et Trembley et d’y accueillir un grand équipement public.
Différents programmes sont réunis dans un seul bâtiment linéaire, libérant au sud-ouest une esplanade généreuse à caractère urbain et paysager et au nord-est une zone verte calme et ensauvagée.
L’herbier du Conservatoire et jardin botaniques de la Ville de Genève contient un des plus important fonds acquis grâce à une collection rare d’échantillons historiques de grande valeur. Il est associé à une des plus riche bibliothèque de botanique au monde. Le projet de rénovation mené réside dans le maintien des éléments et détails de façade avec comme objectif une optimisation des capacités thermiques du verre, la quête d’un équilibre énergétique, ainsi que d’une mise en conformité de la sécurité.
Le nouveau siège mondial de JTI s’implante au sein de l’ancien site industriel de Sécheron, quartier en mutation, comprenant des édifices de toutes époques et de toutes géométries. La forme du bâtiment s’affirme avec force dans ce lieu, et au-delà, sa silhouette particulière étant perceptible depuis le lointain. La volumétrie complexe est comme pliée sur elle-même et s’achève sur deux côtés par des porte-à-faux impressionnants. Le centre de cette figure sculpturale définit une cour qui apporte la lumière naturelle au cœur de l’édifice.
L’expression formelle de la Haute école de gestion de Battelle, de même que la devise du concours Playtime, tient au fait que son environnement construit est essentiellement constitué d’immeubles des années 1960. Le parti structurel - une colonne vertébrale en dur qui contient les noyaux techniques et les circulations verticales - permet de développer une typologie qui s’accommode d’une grande flexibilité d’usage, d’une densité extrême dans un volume donné.
Cet immeuble a un socle commercial pour des magasins de vente au détail. Les étages supérieurs abritent un programme de résidence hôtelière. Une démolition reconstruction a été nécessaire en raison du manque de densité du plan précédent et de l’obsolescence de son système porteur et de son enveloppe. Le socle commercial a nécessité des reprises en sous-œuvre d’une grande complexité car une partie des anciens commerces sont restés en exploitation durant la démolition et pendant la construction des nouveaux sous-sols.
Premier bâtiment du futur écoquartier de la Jonction a avoir été terminé, le bâtiment réalisé pour le compte de la FVGLS est un immeuble de logements autour d’une cour sur 6 étages. Le projet propose des logements de 2 à 6 pièces distribués par des coursives. Le rez-de-chaussée accueillera des activités artisanales, culturelles et commerciales dans des locaux de grande hauteur accessibles par les nouvelles rues du quartier et les passages couverts qui traverseront le bâtiment.
La réhabilitation de l’immeuble des Libellules, qui est l’un des plus grands ensembles de logements à Genève, consiste en plusieurs opérations qui visent un objectif de requalification de l’ensemble.
Le nouveau bâtiment de la Fédération Internationale de Motocyclisme remplace l’ancien bâtiment qui a été démoli. Le coeur du bâtiment, éclairé naturellement par les coupoles zénithales, se compose de l’escalier monumental qui relie les deux niveaux.
Le site comprend un ensemble de cinq bâtiments historiques appartenant à Swiss Life, qui sont délimités par la rue de la Confédération, la rue du Commerce, la rue du Rhône, et le Passage des Lions, dans le prestigieux quartier des Rues-Basses à Genève. En Janvier 2009, UBS a lancé un concours pour des projets visant à transformer cet ensemble afin de le mettre aux normes actuelles d’utilisation, de fonctionnalité, de sécurité et d’efficacité énergétique.
Construction légère et modulaire pour la petite enfance, l’EVE-Monthoux répond à l’appel d’offre lancé par Meyrin pour satisfaire les besoins réels et urgents de demande d’accueil d’une centaine d’enfants en bas âge.
En proposant une nouvelle extension en surélévation d’une petite école déjà surélevée en 1902, le projet présente un volume compact et multifonctionnel laissant libre le périmètre originel du concours et permet une extension du parc des Cropettes jusqu’à l’avenue Baulacre. Dans ce nouveau contexte, l’école enfantine et son surhaussement devient un pavillon dans la verdure et retrouve ainsi une position en adéquation avec sa vocation d’équipement public pour l’éducation et les loisirs.
L’école des Boudines des architectes Addor, Gaillard, Malnati et Payot occupe une place importante dans le patrimoine bâti genevois du 20ème siècle. Cette oeuvre des années 1962-64 a été conçue simultanément à la réalisation de la cité satellite de Meyrin. Elle constitue, avec la première phase de la cité satellite, réalisée dès 1960 par Addor et Payot, un ensemble remarquable aujourd’hui protégé par un plan de site intitulé Meyrin-Parc.
Le site de La Fontenette à Carouge a accueilli, dès les années 1950, dix immeubles comprenant 120 logements. Malgré des signes de vétusté évidents, cet ensemble conserve des caractéristiques intéressantes, grâce notamment aux nombreuses surfaces vertes et à la présence de beaux arbres.
Situé dans le quartier en développement du Mervelet, le projet Jolimont propose 63 nouveaux logements LUP aux typologies variant entre le 2p et le 5p.Privilégiant de grands appartements traversants et de plus petits articulés sur les têtes d’immeuble, les typologies proposent toutes, en prolongation de leur espace de vie, de généreux balcons venant articuler la façade.
L’ouvrage se situe dans la partie nord du parc de la Mairie de Lancy. Le parc a été protégé au titre de monument historique en 1921. L’implantation ponctuelle du bâtiment administratif (BAM) poursuit la typologie des demeures existantes. Le BAM relie les deux plateaux du parc avec ses 2 niveaux de rez-de-chaussée (supérieur et inférieur). Il hébergera l’état civil, la police municipale, le service de la culture et de la communication et le Service financier et de l’informatique.
En 2004, SIG lance une réflexion sur le devenir du site. Des travaux d’infrastructure hydrau- lique initient une réhabilitation sur l’ensemble des bâtiments. Ceux-ci sont identifiés en « Maisons » auxquels on ajoute un nom représentatif de leur ancien ou nouvel usage. Le projet d’un espace muséographique, d’un lieu de rencontre et de formation sur les problé- matiques de l’eau, de l’énergie et de l’environnement est validée en 2006. A moyen terme, il s’agira de réaliser, un pôle réunissant in situ l’histoire des techniques et des savoir-faire.
La surélévation d’un immeuble de logements des années 50 vient achever la silhouette discontinue d’un îlot datant du début du XXe siècle. S’affranchissant de l’apparence des immeubles mitoyens qui affichent un langage propre à leur époque, le caractère autonome de la façade sur rue participe librement à la redéfinition de ce fragment urbain. Le projet saisi l’opportunité de donner un second souffle à cette construction de l’après-guerre.
Le bâtiment se trouve sur la rive droite du canton de Genève, dans le quartier des Charmilles, situé entre les quartiers de la Servette et de Saint-Jean. Le secteur anciennement dévoué au sport et à l’industrie est actuellement en pleine mutation, le départ des activités d’origine libère les terrains, ceux-ci sont investis progressivement par des ensembles de logements, des commerces et des espaces verts. Le bâtiment LMI fait partie de l’opération en lien avec le parc Gustave & Léonard Hentsch.
The potential of the prominent location gives rise to the idea of the solitary monolith. A new main façade is being created facing the Place de Bel-Air. The emphasis on the vertical lends the building a quiet presence. With its bold structural framework, the impact of the building relies on only a few materials, which emphasizes its timeless character and monumental nature. Distracting elements are removed to reveal the valuable historical substance once again.
Un nouveau quartier regroupe des habitations pour personnes âgées et pour personnes polyhandicapées, une crèche ainsi que deux résidences, l’une pour des seniors et l’autre pour des étudiants. Dans un principe de partage des équipements et services, le programme prévoit de larges espaces communs à tous les habitants. Le projet réunit autour d’un patio central à ciel ouvert trois grandes maisons qui, à leur tour, rayonnent sur un assemblage de jardins.
Le projet est représentatif tant dans sa variété typologique que dans son architecture. La richesse des espaces de distribution permet, malgré l’ampleur du projet, de privilégier la convivialité. Ces espaces de distribution comprennent des espaces de dilatation, appropriables pour le jeu et les rencontres. Ces espaces ainsi que les buanderies sont situés en façades, répartis aléatoirement dans l’immeuble.
Le concept d’aménagement et de la réalisation se nourrit de la qualité paysagère de ce lieu, offrant une qualité de vie qui permet d’habiter le parc aussi bien individuellement que collectivement.
Le nouveau musée forme avec les deux écoles du début du siècle une place qui est à la fois un jardin public pour les habitants du quartier et l’esplanade d’entrée du musée. Depuis un foyer généreux, ouvert et orienté sur cette esplanade-jardin, on accède au grand escalier descendant vers les étages inférieurs où se trouvent différents espaces publiques ainsi que ceux dédiés aux expositions. Ceux-ci sont réunis dans une halle d’un seul tenant, sans aucuns piliers, d’une surface de 2’000 m2 et dont la hauteur peut aller jusqu’à 10m.
Le site de la Grande Boissière se caractérise par sa disposition sur deux plateaux. Le plateau supérieur sur lequel se trouvent les constructions édifiées au fil du temps, accessibles depuis la route de Chêne et le plateau inférieur, anciennement le parc de la résidence, qui regroupe aujourd’hui les terrains de sports de l’école, en liaison avec la forêt et le chemin de la Petite Boissière.
Le projet de logements s’insère dans le plan localisé de quartier PLQ route de la Chapelle, lui-même issu du plan directeur de quartier PDQ La Chapelle-Les Sciers. Ces derniers fixent les principes d’aménagement, d’implantation et de gabarit du bâti. L’ identité du futur quartier se présente d’emblée comme un jardin habité.
Le projet s’insère dans une «dent creuse» le long de la rue Abraham-Gevray, longtemps occupée par un garage, et complète l’ensemble réalisé en 1927 par William Henssler. Le site se caractérise par une grande densité, un patrimoine bâti du XXème siècle, une rue secondaire, une cour, des vis-à-vis, et inclut certaines particularités liées à la nature du sous-sol ainsi qu’au développement de la parcelle voisine. Cet immeuble mitoyen comporte cinq étages de logements, distribués par une cage d’escalier unique malgré la taille de la parcelle, des commerces au rez e
Avec ses 110’000 passagers quotidiens, la gare de Genève Cornavin compte parmi les 5 plus grandes gares de Suisse et constitue un noeud ferroviaire local, régional, national et international. Ce bâtiment, datant de 1931, a été transformé, réaménagé pour répondre aux besoins actuels et futurs. Afin de créer une nouvelle organisation globale de la gare qui soit immédiatement compréhensible pour le voyageur, les travaux de transformation des bâtiments voyageurs et des passages inférieurs ont été entrepris.
Le site se trouve au centre d’un tissu bâti très diversifié tant au niveau des programmes que des morphologies. Le caractère de la parcelle est fortement lié à la présence d’une allée de chênes et de champs au sud. Le projet tire parti de cette situation particulière en créant un nouvel ensemble ouvert. Il définit une suite d’espaces publics qui s’inscrit sur les parcours piétons existants et met en relation le centre communal avec son environnement immédiat. La volumétrie proposée cherche un rapport d’échelle adapté à ce contexte villageois et pavillonnaire.
Historique La rénovation du collège de la Florence n’est pas celle d’un bâtiment, mais d’un ensemble réalisé en 3 étapes dont la 3ème a été provisoire sans que la configuration définitive ne soit réglée.
La paix est un état fragile, elle tient d’un équilibre funambule. Lorsque l’homme l’atteint, il s’approche de la plénitude.