Maison de la Paix
La paix est un état fragile, elle tient d’un équilibre funambule. Lorsque l’homme l’atteint, il s’approche de la plénitude.
Ceci est un bloc de débogage
Ceci est un bloc de débogage
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La paix est un état fragile, elle tient d’un équilibre funambule. Lorsque l’homme l’atteint, il s’approche de la plénitude.
Historique La rénovation du collège de la Florence n’est pas celle d’un bâtiment, mais d’un ensemble réalisé en 3 étapes dont la 3ème a été provisoire sans que la configuration définitive ne soit réglée.
Le site se trouve au centre d’un tissu bâti très diversifié tant au niveau des programmes que des morphologies. Le caractère de la parcelle est fortement lié à la présence d’une allée de chênes et de champs au sud. Le projet tire parti de cette situation particulière en créant un nouvel ensemble ouvert. Il définit une suite d’espaces publics qui s’inscrit sur les parcours piétons existants et met en relation le centre communal avec son environnement immédiat. La volumétrie proposée cherche un rapport d’échelle adapté à ce contexte villageois et pavillonnaire.
Avec ses 110’000 passagers quotidiens, la gare de Genève Cornavin compte parmi les 5 plus grandes gares de Suisse et constitue un noeud ferroviaire local, régional, national et international. Ce bâtiment, datant de 1931, a été transformé, réaménagé pour répondre aux besoins actuels et futurs. Afin de créer une nouvelle organisation globale de la gare qui soit immédiatement compréhensible pour le voyageur, les travaux de transformation des bâtiments voyageurs et des passages inférieurs ont été entrepris.
Le projet s’insère dans une «dent creuse» le long de la rue Abraham-Gevray, longtemps occupée par un garage, et complète l’ensemble réalisé en 1927 par William Henssler. Le site se caractérise par une grande densité, un patrimoine bâti du XXème siècle, une rue secondaire, une cour, des vis-à-vis, et inclut certaines particularités liées à la nature du sous-sol ainsi qu’au développement de la parcelle voisine. Cet immeuble mitoyen comporte cinq étages de logements, distribués par une cage d’escalier unique malgré la taille de la parcelle, des commerces au rez e
Le projet de logements s’insère dans le plan localisé de quartier PLQ route de la Chapelle, lui-même issu du plan directeur de quartier PDQ La Chapelle-Les Sciers. Ces derniers fixent les principes d’aménagement, d’implantation et de gabarit du bâti. L’ identité du futur quartier se présente d’emblée comme un jardin habité.
Le site de la Grande Boissière se caractérise par sa disposition sur deux plateaux. Le plateau supérieur sur lequel se trouvent les constructions édifiées au fil du temps, accessibles depuis la route de Chêne et le plateau inférieur, anciennement le parc de la résidence, qui regroupe aujourd’hui les terrains de sports de l’école, en liaison avec la forêt et le chemin de la Petite Boissière.
Le nouveau musée forme avec les deux écoles du début du siècle une place qui est à la fois un jardin public pour les habitants du quartier et l’esplanade d’entrée du musée. Depuis un foyer généreux, ouvert et orienté sur cette esplanade-jardin, on accède au grand escalier descendant vers les étages inférieurs où se trouvent différents espaces publiques ainsi que ceux dédiés aux expositions. Ceux-ci sont réunis dans une halle d’un seul tenant, sans aucuns piliers, d’une surface de 2’000 m2 et dont la hauteur peut aller jusqu’à 10m.
Le concept d’aménagement et de la réalisation se nourrit de la qualité paysagère de ce lieu, offrant une qualité de vie qui permet d’habiter le parc aussi bien individuellement que collectivement.
Le projet est représentatif tant dans sa variété typologique que dans son architecture. La richesse des espaces de distribution permet, malgré l’ampleur du projet, de privilégier la convivialité. Ces espaces de distribution comprennent des espaces de dilatation, appropriables pour le jeu et les rencontres. Ces espaces ainsi que les buanderies sont situés en façades, répartis aléatoirement dans l’immeuble.
Un nouveau quartier regroupe des habitations pour personnes âgées et pour personnes polyhandicapées, une crèche ainsi que deux résidences, l’une pour des seniors et l’autre pour des étudiants. Dans un principe de partage des équipements et services, le programme prévoit de larges espaces communs à tous les habitants. Le projet réunit autour d’un patio central à ciel ouvert trois grandes maisons qui, à leur tour, rayonnent sur un assemblage de jardins.
The potential of the prominent location gives rise to the idea of the solitary monolith. A new main façade is being created facing the Place de Bel-Air. The emphasis on the vertical lends the building a quiet presence. With its bold structural framework, the impact of the building relies on only a few materials, which emphasizes its timeless character and monumental nature. Distracting elements are removed to reveal the valuable historical substance once again.
Le bâtiment se trouve sur la rive droite du canton de Genève, dans le quartier des Charmilles, situé entre les quartiers de la Servette et de Saint-Jean. Le secteur anciennement dévoué au sport et à l’industrie est actuellement en pleine mutation, le départ des activités d’origine libère les terrains, ceux-ci sont investis progressivement par des ensembles de logements, des commerces et des espaces verts. Le bâtiment LMI fait partie de l’opération en lien avec le parc Gustave & Léonard Hentsch.
La surélévation d’un immeuble de logements des années 50 vient achever la silhouette discontinue d’un îlot datant du début du XXe siècle. S’affranchissant de l’apparence des immeubles mitoyens qui affichent un langage propre à leur époque, le caractère autonome de la façade sur rue participe librement à la redéfinition de ce fragment urbain. Le projet saisi l’opportunité de donner un second souffle à cette construction de l’après-guerre.
En 2004, SIG lance une réflexion sur le devenir du site. Des travaux d’infrastructure hydrau- lique initient une réhabilitation sur l’ensemble des bâtiments. Ceux-ci sont identifiés en « Maisons » auxquels on ajoute un nom représentatif de leur ancien ou nouvel usage. Le projet d’un espace muséographique, d’un lieu de rencontre et de formation sur les problé- matiques de l’eau, de l’énergie et de l’environnement est validée en 2006. A moyen terme, il s’agira de réaliser, un pôle réunissant in situ l’histoire des techniques et des savoir-faire.